Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le balayeur de comètes
Le Balayeur de comètes

Blog à variations multiples… Coups de cœur, coups de gueule ! La vie est belle… Poésie, nouvelles, humour, photographie… Un blog où égrener sa curiosité en balades improvisées !

Publicité

Vous voulez me contacter ?
Cela tombe bien, j'habite dans la même galaxie que vous :

planete1966eo@gmail.com


20 avril 2017

Dans le train

 

(Yann à Marion)

 

 

04 Sur ta page blanche

 

 

Dans le train
 
 
J’avais envie de t’envoyer cette carte avec ce petit mot, j’espère qu’elle te plaira autant qu’à moi. Dans le cas improbable où nous ne nous reverrions pas ce week-end, je te fais parvenir ce CD que je t’ai copié ce samedi ; je t’avais parlé de cette symphonie lorsque tu m’avais fait écouter le 4ème mouvement de la 5ème symphonie de Mahler, ce dernier m’avait amené à penser au 3ème mouvement de la 5ème de Shostakovich (un vrai jeu de pistes... musicales), que tu as donc à présent sous la main. Tu pourras te rendre compte par toi-même du rapprochement que j’ai fait mais surtout je te souhaite de te régaler à l’écoute de ce passage musical que je trouve très beau. Par chance (et obstination !), je t’ai déniché une bonne interprétation de cette œuvre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Quant à Castafiore Bazooka, c’est une découverte du hasard faite récemment, elles sont venues se produire en concert à Saint-Malo, et je leur ai acheté cet album ; pour la petite anecdote, c’est un sextet de femmes, et la « meneuse » est Elisabeth Wiener, pas vraiment connue, hormis un duo ravageur avec Jacques Higelin dans un morceau (« Attentat à la pudeur ») du double album « Champagne… Caviar… », il y a une vingtaine d’années. Le morceau « Yadélou » est d’ailleurs un clin d’œil à Higelin. Dans cet album, j’aime beaucoup « Prairies légères » (sur un poème de Jean Cocteau), « Vies à vies », « Quanchtem », « Au cabaret des illusions perdues » ; j’aime bien aussi « Petits bébés », « Cet homme », et le reste de l’album est distrayant.

 






Tu viens de rentrer de ton travail, et je te devine me lisant…
 
J’aime les détails… Ainsi, à ta découverte des cigarettes roulées que j’ai glissé dans ton paquet de tabac, tu t’es demandée (avec humour !) si je m’étais ennuyé pendant que tu étais sous la douche ; je ne m’ennuyais pas du tout : je pensais à toi.  
 
Marion, lorsque tu as très envie de m’appeler (ou de m’écrire), s’il te plaît n’hésite pas, fais-le, même si là encore je peux aisément comprendre les raisons de tes hésitations; et n’aie pas trop peur de me perturber… Ton manque de confiance en toi te laisse à penser que tu n’as peut-être pas été à la hauteur lors de ce week-end passé ensemble…  
 
Tu me manques aussi, Marion !
 
Je suis enchanté de t’avoir retrouvé, d’avoir partagé ce week-end avec toi. J’ai été touché par ton accueil si sensible et bien plus attentionné que tu ne sembles oser le croire… Oui, de tout cela, nous pourrons en reparler avec plaisir.
 
Pardonne mon écriture houleuse, c’est le ressac de la Micheline !  
 
Sauf imprévu de dernère minute, je reviendrai à Clermont-Ferrand jeudi même, vers 18h.
 
Je t’embrasse tendrement sur les lèvres (toutes !…), avec douceur et volupté.  
 
A jeudi soir.

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité