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Le balayeur de comètes
Le Balayeur de comètes

Blog à variations multiples… Coups de cœur, coups de gueule ! La vie est belle… Poésie, nouvelles, humour, photographie… Un blog où égrener sa curiosité en balades improvisées !

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poesie
22 mars 2017

Le fil de la vie

 

Crois-tu en la fleur qui ne se fane pas ?
Crois-tu en la beauté qui ne se flétrit pas ?
Crois-tu en l’amour qui ne dépérit pas ?
Crois-tu en la liberté qui ne s’enfuit pas ?

Crois-tu au monde qui t’entoure et dévore tes pas ?


       Ouvre tes yeux
       Ceux qui sont toujours fermés ;
       Ouvre tes yeux
       Et vois ce qui est vrai.





Souviens-toi de ces mots :
                             Tranchante est la lame du couteau.
                             Tranchante est la lame du couteau.

 

 

 

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22 mars 2017

Dédicace

 

A vous, trouvères et troubadours,
Je dédie ces doux mots d’amour,
Ces fleurs de toujours.

A vous, trouvères et troubadours,
Je dédie ces mots de parcours,
Ces fleurs de carrefour.

A vous, trouvères et troubadours,
Je dédie ces mots de secours,
Ces fleurs de bravoure.

A vous, trouvères et troubadours,
Je dédie ces mots à discours,
Ces fleurs à rebours.


       A toi, trouvère ou troubadour,
       Je dédie cette belle-de-jour,
       Cette fleur de velours.

 

 

 

21 mars 2017

Les camps de concentration ne sont plus ce qu'ils étaient...

 

Non mon enfant,
    Nous n’irons plus à la chambre à gaz :
         Il n’y a plus rien à gazer ;
Non mon enfant,
     Nous n’irons plus au four crématoire :
         Il n’y a plus rien à brûler.

Non mon enfant,
Nous n’irons plus à Fleury-Mérogis ;
    Non mon enfant,
    Nous n’irons plus à Cayenne ;
        Non mon enfant,
        Nous n’irons plus à Sing-Sing…

                Non mon enfant,
                Il n’y a plus rien à emprisonner.

Et puis mon enfant,
Autant te l’avouer,
Pourquoi te cacher
Qu’il n’y a plus de prisonniers.

       Et puis mon enfant,
       Autant te l’avouer,
       Pourquoi te cacher
       Qu’ils ont tous été
       Gazés puis brûlés.

                                      Mais
                                           Pourquoi as-tu ce regard
                                                Si soudainement étrange…

 

 

 

21 mars 2017

...Des vers et des pommes mûres...

 

Croque !
Croque-la,
Croque-la, la pomme,
La pomme,
La pomme de la vie,
La rouge pomme.

     Aaah ! un ver…

Jette !
Jette-la,
Jette-la, la pomme,
La pomme,
La pomme qui pourrit,
La morte pomme.

 

 

 

21 mars 2017

Ballade pour un sentier

 

J’aime à laisser courir mes pas
Sur les sentiers battus de l’errance ;
La mélancolie marche à côté de moi
En compagnie de la romance.

J’aime à rêver près de toi,
Je te vois, déjà tu danses,
Et moi qui suis dans tes bras,
Je retourne en enfance…

 

 

 

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21 mars 2017

Chemin qui passe

 

Te souviens-tu de ces mots doux que tu me soufflais,
Alors que moi de t’aimer je me déchirais ?
Dans ton regard inquiet qui ne comprenait point,
Je noyais de désespoir mes chagrins sans fin.

   C’est ainsi qu’un jour tu m’as dit :
      « Poursuis ton bonhomme de chemin… »


                      Adieu candeur,
                      Adieu innocence,
              Mon chemin je ne peux le suivre,
              Mon chemin n’est plus rien,
              Les hommes l’ont goudronné ;
              Mon chemin, il se meurt de vivre,
              Mon chemin n’est plus mien,
              Le béton de la cité
                                             l’a tué.

 

 

 

21 mars 2017

A toi, ces quelques mots

 

Dans ces souvenirs lointains
Peuplés de rêves incertains,
Dans ces regards insouciants
Peuplés de visages d’enfants,
Lassé de broyer du noir,
Je laisse flotter mes espoirs…

Je ne suis qu’un rêveur
      Qui passe,
Semblable au vent
      Qui s’en vient
      Et qui s’en va
            Au loin…


Je te dédie
Quelques rayons de lune,
Un éclat de soleil,
Un bouquet d’étoiles lointaines
Où une pluie de notes de musique,
Mêlée à la rosée du matin,
A fait germer la fleur de pavot
Qui entaille mon âme,
Elle qui contemple
La rose noire
De ta beauté…

      Je te dédie
      Mes rêves les plus fous.

 

 

 

21 mars 2017

Incantation féerique

 

Bonjour les satyres
Et bonjour les licornes,
Venez à ma tire,
Montrez-moi vos cornes !
C’est aujourd’hui le grand jour,
Venez nombreux, venez tous,
Et vous aussi chimères et amours,
Vos rêves roulent mais n’amassent pas mousse,
Semblables à une plume d’ange
Perdue dans le vent fou
Et qu’un chien de lune dérange,
Le temps d’un éclair qui passe dans son regard de loup…

Et vous oiseaux-roc
Qui planez lourdement
Au dessus de la Cité des Rêves,
Aujourd’hui n’est point un jour de deuil.
Griffons et hippogriffes,
Descendez de vos nuages,
Un espoir de paix vit en nous.
Dans ma tête courent mille diables.
Un œil dans ta main,
Tu me regardes,
Regard fou,
Regard froid,
Le temps d’un souvenir, d’une passion, d’un vertige,
Sirène ou sorcière,
Dryade rêveuse
Au futur imprévisible,
Ecoute et vis,
Evite à tout prix de prendre une claque,
Franchis l’éventuelle obscurité soudaine,
Sans idées précises,
Prends garde à toi,
Le mauvais vent souffle si fort,
Mais aujourd’hui,
Toi l’âme en perdition temporelle,
Toi l’enfant du stress,
Toi le radar en détresse
Qui marche au bord du précipice
Sous un ciel psychédélique,
Toi l’âme au regard lointain,
Transgresse le seuil de ton miroir
Et rejoins-moi dans la dimension d’un rêve.
Aujourd’hui c’est le rapprochement des extrêmes.
Chats Volants de la cité Atlante,
Chassez vos pensées encombrantes,
Prenez un ticket de voyage (pour un rêve),
Faites un passage dans les hauteurs
A la recherche de la voie de la compréhension,
Partez
Toujours plus haut, encore plus loin,
Allez plus loin que l’imagination
Et venez danser avec nous.
Nous sommes seuls
Et nous sommes déjà nombreux,
Nous allons faire un grand feu de bois.
A nous elfes et petits lutins !
Le temps d’un fantasme,
Rejoignez-nous hors circuit,
Nous irons voir s’épanouir la rose de la vie,
Le temps d’un rêve,
Rêve fou à l’ombre de l’amour,
Rêve idéal pour rêveur sans Idéal.
Volez grands rêves,
Portez le message,
Annoncez que nous sommes à la porte d’un autre monde,
L’Autre Monde.
Toi, vous,
Esprits un peu fous
Qui gardez la mauvaise Porte,
Celle qui donne sur une haute altitude pour un vol de rêves,
Vous qui vous complaisez à tracer les limites
De la Voie du Bonheur,
Le sang noir de la peur et de la rage
Grave dans la pierre le testament,
Prise de vue sur une identité ou une liberté,
Survolez vos terres infinies
Et venez m’embrasser.
C’est moi et si j’étais seul,
Je ne le suis plus,
Plus fiché.
Démons dociles et moqueurs,
Brûlez l’étiquette de l’avenir
Car la nature est au rendez-vous,
Et c’est son quinzième lever de soleil sans dormir.
Le temps d’un instant,
L’instant du charme rompu d’une pluie mystique,
J’ai été envahi par la mélancolie première.
Est-ce possible ?
Réaction incertaine.
Est-ce le chant d’une harpie
Qui nous parle de l’amour sans vivre ?
Obsession,
Besoin de rêver
Devant l’admiration d’un rêve impur
Alors qu’entre nos regards qui se croisent
Vit un égaré à la recherche d’un rêve perdu,
Insubordination des mots inutiles,
Mots grossiers qui se jettent d’eux-mêmes
Dans les sous-programmes du Destin,
Il sait nous parler de lui, nous parler de nous,
H… comme Homicide,
Décollage foireux,
Cloîtré,
Douche à l’écossaise,
Je t’aime,
Quand il peut, quand il veut,
Malgré tout,
J’enrage et il explose,
Fusion d’un cauchemar et d’une utopie,
J’appelle, j’appelle,
Vous avez rassemblé les étoiles et leurs planètes,
Que naisse l’enfant de l’univers,
Atome d’une image persistante.
Souviens-toi de ces rencontres inattendues :
L’aventurier, le chien, le flamand rose,
La bête au langage grossier.
En la mémoire de ce mal de tête du printemps mourant,
Revoyons au fond de notre folie
La floraison d’une morsure
Qui poursuit nos maux d’amour.
Vénus et toi réunis,
Franchissez les rayons lunaires,
Attention à l’éclipse,
N’éprouvez point d’effroi,
Désormais,
Nous ne serons plus seuls sur le sol.
Lycanthropes et autres assoiffés de la Lune,
La mer de la Tranquillité et l’océan Pacifique ne font qu’un ;
Abreuvez-vous à la fontaine de la lycanthropie,
Mais prenez garde à l’orage de déshydratation
Qui nous amène à la démence d’un retour à l’atome.
Alertez les bébés
Car voici venir l’aube d’un enfant.
Opération « Speedway » annulée,
Il est trois heures du matin
Et vous n’avez pas à vous presser.
Chimères affolées qui courez en tous sens,
Nous avons tout le temps d’admirer
Les horizons ouverts pour l’aube des Printemps.
Et vous apparitions,
Et vous vampires et revenants,
Vous nous avez à l’œil
Alors que nous jonglons de vos secours humanitaires,
Comprenez le sens de votre ombre,
Ne vous infiltrez plus dans le cauchemar d’une âme rêveuse,
Le mirage est en marche,
Il est l’exception à la galère,
Il est le trait d’union à double sens,
Venez en lui,
Fondez-vous en nous,
Mais n’oubliez pas d’avertir l’ange du Diable,
Plus d’hostilités ni d’idées antisociales,
La maladie a ses propres lassitudes,
C’est la fin et c’est pour tout à l’heure.
Eurydice,
EURYDICE,
De la cime vertigineuse de ton sein,
Je regarde le coucher de soleil à l’ombre de l’apocalypse.
F ?
Fille de la folie au futur fatidique,
Fée fertile fiancée de la fécondité,
Vierge impudique au regard d’élémental,
Ouvre les portes de l’amour,
Le bal de la vie suit son cours
Et toi et moi et nous,
Toujours plus nombreux
A partir ailleurs,
Ailleurs…
« En cœur, en corps,
Chantez, dansez, » nous dit le Faune,
« Et vous aussi Flore,
C’est aujourd’hui la grande overdose,
L’overdose musicale,
Toutes nos amies de la dimension vocale
Sont déjà là,
Les oiseaux vrillent l’air et font siffler la brise,
D’un rêve nocturne illuminons nos espoirs
En donation à la nuit sainte.
O nuit et rêves !
O folie, pensées et alcools au rabais !
Accueille la poussière de l’immensité
Et déchire ces quelques mots qui essaient de dire
Ce qu’une lettre sans espoir ne saurait décrire. »
Ecoute ami, écoute amour,
J’aimerais bien que tu nous retrouves,
Il y a tant de mots à mimer,
Tant de mots,
Deux mots.
Attrape en plein vol l’occasion inespérée –si elle ne te voit pas-
Et réincarne-toi en l’onde de la fréquence d’un rêve.
Mais j’entends le Speed de 7h42,
Il était pourtant 3h57,
Problème de base,
Bruits de pas dans l’impasse,
Stop !
Tiens, j’ai cru te voir
Sortir d’une fente du miroir qui mène au chemin de la révolution,
Le temps d’une flamme de rêve.
Oui, ton regard, je le croise,
J’entr’aperçois son reflet dans la glace
Et il est alors 5h50,
Point de délire sans surplus.
Juste une communication visuelle ;
Je la vois cueillir de sa main légère
La particule d’un rêve caché dans le brouillard.
Mais j’entrevois soudainement
Une nymphe chevauchant un pégase
Et un loup chevauchant le ciel azuré.
Par un croisement des forces et des mots,
Je réussis à vous donner l’annihilation de tout corps étranger à l’âme.
Annihilation de tout corps étranger à l’âme.
Oui, je vous vois
Dans l’ombre d’un passage de l’amour,
Mais nous sommes tant,
Mais nous sommes tout et rien,
Où suis-je ?
Aïe !
Absence.
Alors que tout,
Tout a un sens :
Il faut juste prêter attention
Aux divagations de vos neurones survoltés.
7h13 :
Faut-il laisser le temps engouffrer nos interrogations ?
Mais nous chantons et dansons,
C’est aujourd’hui,
Hier est le passé.
Hier, c’est hier ;
Hier, c’était 23h53.
Dans la lueur blafarde de mes souvenirs
Flottent les complications, les abréviations, les changements.
Rêve vert,
Enchaînement des retrouvailles de ma double personnalité en exil,
Mais point de bonheur conditionné.
Quelques polémiques apeurées,
Les ombres appelant les ombres,
Les ombres et les zombies ;
Bienvenus, ennemis !
Ennemi, existes-tu ?
Ennemi, tu n’es plus :
Bienvenu parmi nous.
Plus rien ne sera noir,
Il n’y aura plus personne sur le chemin express.
Bienvenue à vous tous.
Plus d’errance,
Plus de chaos,
Plus de K.O.,
La déception se meurt
Et tout est possible,
Il est d’ailleurs huit heures matinales :
Patience, récompense.
Dédions nos pensées à ce mémoire pour une nuit blanche
Et réservons notre joie à ce lendemain d’un coucher de lune.
Toi, la magicienne qui tend l’oreille
A la devise de Dionysos,
C’est aujourd’hui le grand prologue
Et voici venir la fin du point d’interrogation.
Après ta descente en piqué,
Accueille le vent de l’espace
Et crache la fureur de ton ventre tremblant sous la splendeur des spasmes.
DREAMS.
Tu n’es plus sur le chemin Noir
Mais encore tu t’égares,
Amour du soir,
Et ton corps qui se cambre de plaisir
Se noie dans les premières rougeurs du soleil levant.
Tu n’es plus seule :
Plus de saisons en folie,
Quitte ton monde, tu y meurs,
Boule de Cristal est partie à jamais.
Mais toi, viens avec nous,
Qui sommes tant et tant
Et si nombreux,
Viens avec moi,
Ne marche plus sur le chemin Blanc,
Ne joue pas connaissances sur table,
Ne me dis pas que j’ai le regard d’un fou,
Au prochain speeding
Ce sera la crise,
Ne dis plus « au revoir docteur »,
Ton cœur est cassé,
Le tout n’est qu’une question,
Personne ne te demande tes impressions.
Ah ! ce souvenir lointain !
Hier, un visage,
Résigné par les significations inexistantes d’une recherche de volonté,
A provoqué le voyage sur un chemin bien connu,
La lueur d’un idéal sans espoir
En possession de l’amour dangereux
Et toutes ces particularités qui nous soumettent à bien peu de choses.
La banalité du mal d’une perte d’altitude
Peut rendre amer ;
Même le dragon le plus obstiné
Ne voudra jamais faire un atterrissage dans le brouillard,
Surtout si comme toi il est bien raide.
N’oublie pas, n’oubliez pas,
C’est le jour J,
C’est le jour A,
C’est le jour H
Où les sens se cachent.
Mon amour m’a quitté.
Solo Nymphéa.
Plus besoin de boussole,
Ton âme, nos corps,
Le cosmos
Et nous tous ensemble,
Elémentals hypnotisés par les larmes de la lucidité,
Arrachons à nos corps aseptisés
Les fils électriques de nos cerveaux plastifiés.
Toi, nous, lui, tous,
Nombreux,
Tout le monde et toi, toi-même,
Toujours plus, toujours plus nombreux
A ressentir le déferlement du bonheur d’un sourire !
A moi, dis-moi
Pourquoi,
Pourquoi tu regardes, tu me regardes
A travers le miroir,
Raconte-moi,
Parle-moi.
Je sais, il y a un peu de tout.
Tiens, le jour se lève…
                                          Quel feu féerique !

 

 

Peter Pan

 

 

21 mars 2017

La grille

 

N’oublie pas,
Non, n’oublie pas,
N’oublie pas, mon âme,
Qu’elle t’a déchiré le cœur
Et que ton sang amer
A coulé sur la grille de son jardin,
Sous le ciel silencieux qui pleurait ;
Et tu savais, désespérée,
Que tes larmes cuisantes,
Versées sans lendemain
Parmi celles du destin,
N’étaient que des gouttes d’eau salée
Qui s’en allaient mourir dans le caniveau…

       Alors n’oublie pas,
       Non, n’oublie pas,
       N’oublie pas, mon âme,
       Qu’elle t’a déchiré le cœur.

 

 

 

21 mars 2017

Cas de conscience

 

Toi, tu vis en compagnie de ton honneur
Et tu mourras avec ton honneur inviolé.

Mais qu’appelles-tu ton honneur,
Alors que je vis dans le malheur,
Alors que ma compagne est la peur ?!
Sache qu’il n’est point de déshonneur
A réfléchir à la bonne heure :
Plus de poings levés, plus de pleurs.
   Seule, dans mon cœur,
   L’aube du lendemain espéré.
   Alors que le jour se meurt,
   Il ne me reste plus qu’à rêver
   Tout en regardant pousser
   Dans le creux de mon âme une fleur.

 

 

 

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